Soupir













Lis bien ces mots lis les fort lis les hauts
Ils sont un héritage ils sont les limbes du beau
Lis ces paroles qui resteront quand le corps expire 
Lis ces mots qui sont l'éden autant qu'ils sont le pire

Dans les palabres il y a le temps qui courre
Et dans l'adorable il y a le temps trop court
Pleurons les larmes de cette romance épistolaire
Comme un pied de nez à l'existence de vaire 

Pas de règles pas de manières juste un cri amer
Une volonté futile de survivre à l'inutile 
Les nuits câlines sont éphémères 
Et les espoirs bien trop futiles

Tu chanteras sur ma poussière
La vie fragile qui exaspere 
Mais également le firmament 
La poésie qui nous epprend


Aucun commentaire: