Dans nos cerveaux s’emmêlent les
idées les plus folles
Les concepts les plus sobres et des
envies d'aimer
Tous ces chiffres à la pelle, les mots
et les paroles
Et ces rencontres fortuites, qui nous
font bafouiller
Des romains à ma porte, des fleuves
d'intelligences
Ont irrigués le monde, de découvertes
ou rien
Car ce que chacun sait, c'est bien
qu'il ne sait rien
On est sombre ou brillant, par ses
choix ou par chance
Qui amasse connaissance, n'amasse pas
là le monde
Qu'on soit grand ouvrier, ou simple
dirigeant
Ce sont les neurones, qui s'effacent ou
qui grondent
Qui permettent d'avancer, d'être
petits ou grands
Alors réfléchissons, les images de
nos vies
Toutes nos incohérences, la peur et la
folie
Alors réfléchissons ce que nous
sommes entraîne
La grandeur ou le vent, nos bonheurs et
nos peines
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