Je regardais ma chambre, dans cet
hôtel cosy
Sans vraiment m’ébahir, ni me
faire pénétrer
D’un sentiment d’éclat ou de
sérénité
Pour ce crime de l’ennui, elle
n’avait d’alibi
M’est venue donc l’idée, d’aller
chercher ailleurs
D’autres divertissements,
peut-être aphrodisiaques
Peut-être même dangereux, je
prépare donc ma traque
Et prend en filature, une femme
de chambre, mon leur
Au détour d’un couloir, le
chloroforme en main
Je l’endors par derrière, et la
tire dans un coin
Je prends son costume rouge et
son chapeau doré
Et dans la buanderie, lui offre
une sieste forcée
Il est seulement 20 heures, et
mon appétit croît
J’ai autant envie d’eux, que j’ai
envie de moi
La directrice d’agence aussi bien
femme que mère
Ce soir perd le contrôle, et se
découvre vulgaire
J’ai ouvert trois boutons, à mon
chemisier blanc
Et remonté cette jupe, sans même
mettre de collants
Derrière la première porte, j’y
trouve un couple âgé
A qui je sers une coupe, puis je
retourne quêter
Mais la deuxième ouverte, je
glorifie mes charmes
Aux coups d’un commercial, bien
entendu marié
Qui n’a pu résister, au charnel
de mes armes
Qui ont puisés en lui, en restant
habillée
Je le laisse dans ses plumes,
pour aller jouir ailleurs
A l’étage du dessous, dans une
parfaite pudeur
J’arrive à satisfaire, autant
qu’il m’émoustille
Un étudiant expert, déjà mon con
pétille
Il m’a fallu une heure, pour
trouver d’autres ciels
Ces deux amis maliens, qui m’ont
fait voir deux fois
La force de leur Afrique, dans
l’intérieur rebelle
De mon corps enflammé, qui
réclame là son droit
Au final ce tabou, je l’achève en
beauté
Excitée jusqu’au bout, par une
actrice anglaise
Qui a volé ma nuit, pour
finalement m’achever
Dans des jouissances si fortes,
qu’il est mieux que je taise…
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