Salue cette symphonie, au son qui
siffle et sonne
Célébrant solitaire, la survie
salivaire
Du « S » et ses
symboles, qui sèment et assaisonnent
Ces sus sorts qui sévissent sur ces
sévères sectaires
Car c’est en sifflotant, qu’on
essouffle ses souffrances
On survit en s’aimant, on s’estime
dans l’ivresse
Et c’est dans la sagesse, qu’on
trouve l’essence du sens
Et l’hospitalité débarrasse la détresse
Les souhaits que l’on exhausse,
sont sincèrement dressés
Pour la sécurité, l’espoir ou la grâce
Rassurer ou servir, solitaires, oppressés
C’est en se soutenant que le
silence s’efface
Ces souvenirs s’installent, dans
cette histoire sordide
Ou sévissait souvent, ce strict
trop rationnel
Aujourd’hui je m’esclaffe, ma
masse est si solide
L’audience aussi ressent, mon
style sensationnel
Désolé zozoteur, la base de
toutes ces phrases
Le poison de synthèse, est une
braise de ma prose
Désignant trop zélé, l’overdose
que j’impose
De cette lettre isolée, la rose de
mon extase
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