J’étais seul sur la plage, le
cœur dans les palmiers
Quand soudain jaillit de l’eau,
l’harmonie céleste
Sur sa longue planche taguée, une
sirène incarnée
Aussi agile que belle, de la
pulpe jusqu’au zest
Ses courts cheveux dorés,
illuminaient sa bouche
Sa peau disait, hâlée, je veux
que tu me touches
L’azur de son regard, assassin de
sa guilde
Vint me frapper, vaurien, de son
pouvoir torride
Des regards saccadés et des sourires futiles
Jusqu’à son arrivée, dans
mon ombre d’argile
Puis soudain le changement,
éducation totale
Elle me montre le bracelet sur sa
cheville banale
Il est à droite l’ami, c’est pour
dire les non-dits
Un baiser sur la joue, elle parti
voir sa dame
Qui l’attendait plus haut, elle,
la beauté délit
Moi je n’use pas des signes, pour
dire que j’aime les femmes…
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