Seule certitude vivante, je t’aimais
plus que tout
Tous nos projets d’avenir, étaient
projets de nous
Cette certitude de vivre, jusqu’à
la mort ensemble
Dans ce monde idyllique, où l’amour
nous rassemble
La maison nous regarde, comme des
menteurs trahis
Les efforts pour construire,
essoufflent le temps perdu
Tous ces moments d’espoir, ou le
sens est uni
Font tomber toutes les pierres,
de ce foyer vendu
Les enfants pleurent encore, des incessantes
disputes
Sur l’alcool qui me tue, et le
travail qui t’use
Sur l’égoïsme qu’on vêt, quand on
délaisse la lutte
Alors la solitude, devient pour
deux la muse
J’ai été infidèle, dans mon corps
trop souillé
Mais toi dans tous tes choix, qui
nous ont balayés
Et ce qui reste de nous, est l’impensable
pastelle
De deux être immobiles, face à la
chute mortelle
Ma bague je te la donne, y est
gravé mon être
La personne que j’étais, avant de
te connaitre
Et de me fondre futile, dans un
or blanc damné
D’un amour inutile et de temps
gaspillé
Maitre avocat, parlez, à la place
des deux sots
Pour rompre l’union sacrée, et leur faire ce cadeau
De retourner à un, quand le deux fait souffrir
Pour le meilleur à vivre, mais aussi pour le pire
2 commentaires:
Bravo woooooooooow c’est très bien ça vraiment
Je aimer cette poème bcp
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