Je touche de mes pupilles, chaque
matin qui se lève
Un horizon nubile, que les
plateaux dessinent
Pas besoin de volets, entre moi
et ces lignes
Seules les nuits orageuses,
peuvent imposer une trêve
La nature s’associe, à l’harmonie
profonde
Qui dans mon cœur gaucho, survit
paisiblement
Et le soleil éclaire, de bien
être permanent
Mon domaine argentin, dans ses
rayons brulants
Les lumières de la ville, ne
peuvent plus m’éblouir
Le bruit qui s’y propage, donne
envie de vomir
La liberté s’y perd, mais ici c’est
ailleurs
La où l’herbe est plus verte et
où git le bonheur
Mes chevaux se baladent, entre
vaches et taureaux
Autour de ces murs blancs, perdus
dans la pampa
Et rien ne changera ce rêve un
peu trop beau
L’amour que je cherchais, c’est
bien cette hacienda
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