Les tortueuses vocables, qui
définissent une langue
Décrivent bien une histoire, la
paroles des ancêtres
La vie qu'on nous raconte, par
l'aventure de l'être
Des joies et des souffrances, que
l'existence harangue
Dans un drapeau on voit, les batailles
que l'on gagne
Les défaites qui apprennent, à créer
l'unité
Qu'on vive ensemble, ou à des heures
de bagne
C'est d'une seule et même voix, qu'on
apprend à crier
La couleur qui nous peint, c'est l'ADN
d'une voix
Le grand mélange des siècles, la
grande soupe des croyances
Qui nous fait voir en un , en une
nation qui croît
Mais aussi dans cette terre, éternelle
renaissance
On va choisir un nom, on va vouloir
être fort
Prendre la vie des autres, décider de
leur sort
Puis faire des autres les nôtres, en
tant d'autorité
Pour peu d'humanité, qui crée
l'adversité
Aux nations qui existent, et à celles
qui vont naitre,
Je ne pourrai dire plus, dans ces mots
illusoires
Qui le sont tout autant , que les
barrières notoires
Que vous avez battis, pour séparer les
êtres
Il n'y a pas de frontière, personne
n'est mieux ou pire
La Terre est la nature, qui nait et qui
reprend
Vous n'pouvez orchestrer, ou encore
définir
Où s'emballera mon coeur, et
s'écoulera mon sang
Le seul péage qui vit, est celui de
l'esprit
S'organiser est droit, mais diviser
réduit
Je suis ici, je suis là bas, peu
importe que tu sois
J'habite le monde comme toi , et je
décide d'être moi
Pas un mot n'me sépare, de ces mains
qui m'étreignent
Pas une langue ne m'empêche, d'aimer
ou désirer
Pas une peau ne m'éloigne, de la
chaleur d'étreindre
Pas un dieu nne m'émoit, mais pour
tous j'ai prié
J'ai vu les plus pauvres, j'ai vu les
plus aisés
Il partagent les mêmes peurs, ils
vivent les mêmes regrets
Ils connaissent le plaisir, le deuil;
cherchant une vérité
Mais moi ce que je suis, supère ce que
je sais
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