Même les plus beaux opus, dénotent sur ses violons
Armés d’une musique douce ils
font pourtant danser
Ramenant la parole à mes vides
partitions
Ils m’illuminent de blanches et
de bleus azurés
On ira sculpter son Cœur, sur les
merveilles du monde
Nul ne pourra pourtant, sentir
cette chaleur brute
Secrètement effacée, avant que la
glace fonde
Harmonieusement usée, par ma
passion qui lute
Il me faudra la peindre, ou la
photographier
Garder dans ma mémoire, chaque
détail de son corps
Orner de phrases l’image, sur
laquelle j’aime danser
Jouer dans ce théâtre, qui exultera
plus fort
Enrobé par ses courbes et son
talent d’actrice
Titubant de bonheur, je pourrai
lui avouer
A l’aurore de notre art, qu’au
milieu de la piste
Il faut maintenant bâtir, cette œuvre
qu’on veut tailler
Maestro des palabres, je reprends
un départ
En offrant ton amour, tu crées mon
huitième art
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