Ton aura se libère, de
matérialité
Chaque geste que tu décris, dans
cette réalité
Met en joue l’assurance,
rappelant la gravité
Toutes les lois scientifiques, tu
peux les démontrer
Le vin n’est pas boisson, mais
sécrétion rougeâtre
Qui se répand maligne, sur les
tissus autour
Les tapis, les habits, tu n’peux
pas le combattre
Car tu es conducteur, du mal que
tu encoures
Les marches sont Elysées,
insurmontables échelles
Qui te ramènent au sol et la
douleur rappelle
Que sans ta maladresse, tu
n’pourrais pas sentir
La valeur du normal, qui semble
toujours te fuir
Ton clavier n’écoute pas, les
mots que tu veux dire
Car ta malchance s’exprime, dans
tes doigts hasardeux
Sans compter toutes les fois, où
tu as fait bien pire
En te trompant d’adresse, la
honte est ton aveu
Tous les bleus comme les pleurs,
les fous rires et rancœurs
Te décrivent et t’élèvent, dans
ton monde solitaire
Maladroit tu t’énerves, maladroit
tu espères
Mais être différent, est ta plus grande valeur
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