Il lui disait souvent, la
regardant d’en bas
Laissant bouillir son sang dans
son cœur bouleversé
Qu’il ne fallait attendre, on ne
vit qu’une fois
Les comptes ne sont à rendre, que
si c’est terminé
Il lui parlait souvent de ses rengaines
anciennes
Qui restent avec le temps et qui
trahissent bien l’être
La vie ne se vit pas si la
passion l’aliène
Mais il n’oubliait pas que son
amour n’est traitre
Il regardait parfois les rivières
de ses yeux
Pour lui c’était un poids, d’avoir
à observer
Les larmes qu’il fit jaillir, d’un
cœur pourtant heureux
Ne craignant pas le pire mais
touché du passé
Il se disait parfois qu’il n’était
pas celui
Qui en touchant du doigt, ferait
naitre l’amour
Ni l’homme qui lui fallait pour
embellir sa vie
Il se voyait baudet, jusqu’à la
fin du jour
Elle oublia un temps ce qui
faisait ses peurs
Et à son étonnement, retrouva le
sourire
Celui qui dit doucement : « je
suis bien dans ton cœur »
Et qui laissa ces gens s’amuser
et revivre
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