On change d’humeur comme de
chemise
En enfilant le pantalon
De satanées hormones qui brisent
Dans leur sommeil, nos émotions
Même bien gantés de prévoyance
Elle se faufile entre nos mains
Et un excès de malveillance
Peux se finir en coups de poings
Dans la chaleur d’un jour d’été
Sur la sueur de l’existence
De tristes nouvelles elle peut
glaner
Et faire pleurer notre
impuissance
Nus comme le verre de nos pensées
Elle nous emmène vers l’isolement
De réflexions désabusées
Sur les raisons des sentiments
L’humeur câline, l’humeur enjouée
L’humeur mâtine comme l’humeur
triste
Toutes les humeurs sont sur la
piste
Pour savoir ce qu’est d’exister
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire