Rouges larmes













Les histoires les plus courtes, sont toujours les meilleures
Je n’prendrai que des mots, pour exposer la leur
Ils étaient jeunes et beaux, de simple travailleurs
Dans une usine moderne, l’amour c’est le labeur

Quand soudain a chu, sur les pauvres bouts de chaire
Que sont deux pauvres âmes, qui savaient seulement taire
La lourdeur du béton. S’inscrit là à jamais
Un fleuve de rouges larmes, sur ces deux corps muets


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